L’immobilier locatif est lourdement taxé. Les revenus fonciers sont assujettis au barème progressif de l’impôt auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux de 17,2 %. Le microfoncier bénéficie toutefois d’un abattement et, au régime réel, les déficits sont déductibles. Un dispositif supplémentaire peut être actionné par les propriétaires ayant effectué des travaux de rénovation thermique.