Pour que le vendeur privilégie son offre d’achat, un candidat acquéreur peut être tenté d’enjoliver sa situation financière, en prétendant par exemple avoir plus d’épargne disponible qu’en réalité ou en considérant le fruit d’une vente future comme un apport personnel. Ces arrangements avec la vérité sont-ils si graves ? Que risque l’acheteur ?
