Acheter un bien atypique est différent du type habituel si l’on prend comme référence les définitions communes. Même si 1/3 de biens visités comme atypiques sont des lofts, en réalité beaucoup de biens sortant du cadre peuvent être considérés comme atypiques.
Acheter un bien atypique : Le cadre
Un bien est « atypique » à partir du moment où il sort du cadre classique. Les agences proposent aux acheteurs de biens atypiques généralement des maisons avec design d’architecte ou par exemple une péniche sur la Seine. La définition exacte d’un bien atypique n’est pas aisée. 33% des biens atypiques vendus sont des lofts.
Le cout d’un bien atypique
Un bien atypique ne coute pas plus cher ni moins cher qu’un bien dit classique. Comme tous les biens à la vente son prix dépend de l’emplacement et de son état. Les spécialistes affirment qu’environ 1/5 des logements sont à moins de 280 000€.
Acheter un bien atypique : Les acheteurs
En général, d’après une étude récente, les propriétaires actuels de biens atypiques sont des médecins, des avocats ou des cadres supérieurs. La majorité (52%) des propriétaires de tels biens bénéficient d’un niveau de vie confortable. Certaines anciennes boutiques se sont vendues dans l’univers des biens atypique et se révèlent être une très belle opération immobilière et financière.
Les limites d'un bien atypique
En cas de travaux, les démarches administratives sont complexes. Acheter un bien atypique. Comme il s’agit d’un bien inhabituel, les règles et procédures immobilières normales ne s’appliquent pas sur toujours. Les matériaux qui la composent sont souvent moins résistants ou anciens. Il en découle alors un usage couteux en énergie ou d’importants frais d’entretien. Certaines d’entre elles sont même, moins sécurisées comme une maison perchée sur une falaise qui s’effrite dangereusement vers la maison. D’autres cas sont observés comme une maison posée sur un rocher en Bretagne, très agréable en été, moins en hiver sous les rafales de vent.