Depuis cette année, toutes les résidences principales sont exonérées de la taxe d’habitation. Seules les résidences secondaires et vacantes restent soumises à cet impôt local. Qu’en est-il des logements occupés par des salariés travaillant trop loin de leur domicile pour le regagner chaque soir ? Interpellé sur ce point par un sénateur, le ministère de l’Economie vient de lui répondre.