Le danois Novo Nordisk, qui va dépenser 2,1 milliards d’euros en France, est le dernier exemple en date de l’attractivité de l’Hexagone pour les investissements massifs. Un essor alimenté plus particulièrement par l’industrie des batteries.
Le danois Novo Nordisk, qui va dépenser 2,1 milliards d’euros en France, est le dernier exemple en date de l’attractivité de l’Hexagone pour les investissements massifs. Un essor alimenté plus particulièrement par l’industrie des batteries.
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